Sport au féminin. La Provence dimanche 26 janvier 2025. La maternité est un sujet sensible chez les joueuses professionnelles et sportives de haut niveau. Peur de compromettre sa carrière, de ne pas retrouver sa morphologie ou son niveau… Certaines ont franchi le pas et montrent que c’est possible. Par Mathias Lloret. A lire ici.
Extraits. Pour un club, la situation n’est pas forcément simple. « On préfère ne pas avoir à gérer le chamboulement de la réorganisation d’une équipe, reconnaît Éric Nicolao, président du Handball Plan-de-Cuques. Mais être enceinte, ce n’est pas une maladie. » (…) Financièrement, elle [Floriane Hot, athlète] n’a pas eu d’inquiétude : contrôleuse aérienne à l’aérodrome desMilles, elle a pu poser son congé maternité normalement. Et son équipementier ne l’a pas lâchée. Une chance pas donnée à toutes les sportives… « Pour bien vivre sa maternité, il faut une notoriété, cela permet d’être entendue et protégée », pense Myriam Kloster.
Même dans le sport, il est “interdit d’évoquer un projet de grossesse lors d’un recrutement” dit une avocate. Avocate au barreau d’Aix-en-Provence, Audrey Bruin est spécialiste en droit du travail et en droit du sport. Par Mathias Lloret. A lire ici.
Pour la médecin des joueuses de l’OM, “être enceinte et faire du sport à haut niveau, c’est possible”. Médecin du sport, qui intervient auprès de la section féminine de l’OM, Christelle Ansaldi l’assure : la pratique du sport de haut niveau ne doit pas être un frein au désir de maternité. Par Mathias Lloret. A lire ici.