31 juillet 2024

Temps de lecture : 1 min

Paris 2024. Embarquement immédiat pour la Maison du Canada

« Je peux tu voir ton ID ? ». Impossible de se tromper, SportBusiness.Club était bien arrivé en territoire canadien. À la Maison du Canada, on y parle français, anglais et… québécois. Pendant les Jeux, le comité olympique national a posé ses valises au sous-sol de la Cité des sciences et de l’industrie, bâtiment qui jouxte le Parc de la Villette, pas très loin du Club France et des autres maisons nationales du Parc des Nations.

Le lieu, dont le prix d’entrée est de 30 euros, a été investi par les partenaires des Canadiens, et notamment la compagnie aérienne du pays. Air Canada dispose de son propre espace. Comme dans les avions, il y a la télévision, mais là c’est sur grand écran. Il est possible d’y regarder les compétitions, de boire et manger mais aussi d’imprimer sa carte d’embarquement personnalisée. Elle est agrémentée de quatre photos de soi, amusantes si possible et permet presque de prendre un vol. Seul souci : il s’agit d’un Canada-Paris… et nous sommes déjà sur place.

Une poutine gratuite

Heureusement, la compagnie aérienne n’a pas débarquée en France les soutes vides pour alimenter la Maison du Canada. Chaque soir, aux 200 premiers visiteurs à partir de 19h00, Air Canada distribue 200 poutines. Ne cherchez pas la signification politique. Une poutine est un plat québécois à base de frites, fromage et sauce brune. De quoi bien régaler les connaisseurs, et généralement ce sont les supporters canadiens les premiers à se servir. Mais, même pour goûter, il faut être rapide car chaque jour environ un millier de personnes se rend à la Maison du Canada.

Si jamais vous ratez la distribution de poutines, le plat est vendu 12 euros. Les canadiens sont très gourmands d’ailleurs car à la Maison du Canada, Oréo, Cadbury et Ritz, tous membres du groupe Mondelez International et partenaires officiels du comité olympique du pays, offrent des dégustations de leurs produits. Avant cela il faudra se prendre en photo et réaliser une carte d’identité aux couleurs des biscuits Ritz. Il ne faut donc pas craindre de se paqueter la fraise* en allant Outre-Atlantique.

Killian Tanguy
© SportBusiness.Club Juillet 2024

*Se paqueter la fraise est une expression québécoise pour dire que l’on a trop mangé

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