Stades. Le Parisien dimanche 23 mars 2025. Olivier Ginon, le PDG de GL Events, en négociations exclusives avec l’État sur la prochaine concession du Stade de France, s’impatiente. Si l’État temporise, les accords avec les Fédérations de football et de rugby n’ont pas été trouvés. Par Sandrine Lefèvre, Romain Baheux et Jean-Gabriel Bontinck. A lire ici.
Extrait. Par la voix de son président, Florian Grill, la FFR nous indique néanmoins que, si rien n’est signé, les parties se sont mises d’accord sur 4 points : un contrat de trente ans, avec clause de sortie à douze ans ; une baisse conséquente du loyer fixe ; l’organisation de 4 matchs par an ; un partage de revenus plus avantageux des loges pour la FFR. «On est le produit phare, la raison pour laquelle les entreprises achètent des loges à l’année. Les loges sont remplies pour le rugby, pas pour les concerts», estime le président de la FFR.
Olivier Ginon, un patron “jamais rassasié”. La société GL Events a les faveurs de l’État pour gérer le Stade de France dans les trente prochaines années. À sa tête depuis plus de quarante ans, un entrepreneur lyonnais passé de l’organisation de modestes foires et salons aux événements mondiaux. Par Romain Baheux, avec Jean-Gabriel Bontinck. A lire ici.
Extrait. Si Saint-Denis occupe l’attention des dernières semaines , GL Event s a d’autres objectifs, notamment du côté de l’Arabie saoudite, où se dérouleront les Jeux asiatiques d’hiver en 2029 et la Coupe du monde de football l’année suivante. Mais aussi dans les Alpes françaises, avec les JO d’hiver de 2030 dans le viseur d’Olivier Ginon.
