La chasse aux ombres et reflets est ouverte. “Supporteur officiel” de Paris 2024, SLX a commencé à installer ses éclairages, câbles et lumières en tout genre sur les 27 sites olympiques et paralympiques* dont la société britannique a la charge de la mise en lumière. L’objectif est d’éclairer sans que cela gêne les athlètes lors des compétitions. Ces installations techniques doivent aussi répondre aux attentes des diffuseurs et des spectateurs présents dans les tribunes. Le défi est immense d’autant que SLX fêtera à l’occasion de Paris 2024 sa toute première participation aux Jeux olympiques et paralympiques.
« L’engouement est historique en interne, explique Alastair Currie, PDG de SLX, contacté par SportBusiness.Club. Au total, 50 collaborateurs seront mobilisés sur l’événement. Nous allons montrer au monde entier ainsi qu’à l’écosystème de sport que nous pouvons délivrer un excellent produit. Nous souhaitons capitaliser sur cette expérience pour gagner en notoriété et développer notre activité dans l’univers du sport et des Jeux olympiques et paralympiques. Nous avons l’ambition de nous imposer comme un acteur important des grands événements sportifs ».
Précédemment SLX a déjà œuvré dans le sport. C’était en 2022 lors des Jeux du Commonwealth à Birmingham (Angleterre). Cet été, la dimension sera bien différente. Au total, 25 kilomètres de câbles vont être déployés et 2 500 lumières seront installées. SLX collabore également avec Paris 2024 sur la partie “présentation sportive”. Concrètement, l’entreprise née en 1979 et basée à Bristol assurera le show lumineux avant et après les compétitions. En revanche, elle ne s’occupera pas de l’éclairage de la cérémonie d’ouverture sur la Seine mais se “tient prête” au cas où, hypothétiquement, elle se tiendrait au Stade de France, justement, un site opéré par SLX durant l’événement.